Nos projets sont axés au niveau de la santé, de bien-être  qui sont liés par une nourriture équilibrée basée sur la principe de la citation hellénique, citée plus haut, et aussi sur l’ancien dicton « mieux vaut prévenir que guérir ». Aujourd’hui, les personnes qui sont atteintes des maladies de civilisation, tels que les hémorroïdes, diabètes, cholestérol, asthme etc., avec le soutien de notre association par le biais de thérapies alternatives, elle leur donne une sécurité de la vie qu’ils n’ont pas trouvée dans les centres médicaux classiques. Par exemple,  dans ces régions des trois malheurs, une maladie bénigne peut menacée l’existence d’une personne démunie de tout. Même les médicaments locaux ne sont pas suffisamment efficaces, ils sont simplement commerciaux et génériques, dépourvus de leurs forces médicales.

Au 21ème siècle, la santé est une responsabilité partagée qui suppose un accès équitable aux soins essentiels et la défense collective contre des menaces transnationales.

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.

Cette définition est celle du préambule[1] de 1946 à la Constitution de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). [1]Cette définition de l’OMS n’a pas été modifiée depuis 1946.

Elle implique que tous les besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu’ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels et du stade de l’embryon, voire des gamètes à celui de la personne âgée.

Pour MLV, la santé se présente donc plutôt comme un objectif à atteindre. En général, de 70 à 99% des gens comme n’étant pas en bonne santé ou malade dans cette région, comme partout. La santé peut être aussi en convergence des notions d’autonomie et de bien-être.

En somme, la santé c’est quand tout fonctionne bien, un état plus ou moins équilibré, physiquement et mentalement. C’est un état relatif. On dit d’une personne qu’elle est en “bonne santé” ou en “mauvaise santé”. La santé publique désigne à la fois l’état sanitaire d’une population appréciée via des indicateurs de santé (quantitatifs et qualitatifs, dont l’accès aux soins), et l’ensemble des moyens collectifs susceptibles de soigner, promouvoir la santé et d’améliorer les conditions de vie.


[1] L’OMS est l’autorité directrice et coordonatrice, dans le domaine de la santé, des travaux ayant un caractère international au sein du système des Nations Unies